Sourate Al Ikhlass n°112 

Catégorie: Blog,spirituel

Comment entrer en contact avec son guide spirituel ?

Bonjour à tous. Je suis Guide Spirituel et voyant. Je reste à votre écoute, pour toutes questions, dans la bienveillance et la franchise.

Cliquer ici

             

                                  Sourate Al Ikhlass n°112

                                             Celui qui récite 10 fois cette sourate :

                                                       بِسْمِ اللهِ الرَّحْمَٰنِ الرَّحِيمِ

                     {قُلْ هُوَ اللهُ أَحَدٌ ۞ اللهُ الصَّمَدُ ۞ لَمْ يَلِدْ وَلَمْ يُولَدْ ۞ وَلَمْ يَكُنْ لَهُ كُفُوًا أَحَدٌ}

Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux

Dis : « Il est Allah, Unique ۞ Allah Le Seul à être imploré pour ce que nous désirons ۞ Il n’a jamais engendré et n’a pas été engendré non plus ۞ Et nul n’est égal à Lui. »

  • Ses Bienfait :
    Celui qui récite 10 fois cette sourate,  Allah lui construit un château dans le paradis.
    Elle équivaut au tiers du Coran
  • Sourate Al Ikhlas (112) : bienfaits et causes de sa révélation

    Par ailleurs, sourate  al ikhlass a d’autres mérites. Parmi ces derniers, elle équivaut à elle seule au tiers du Saint Coran. En effet, Abu Sa’id (qu’Allah l’agrée) rapporte que le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) dit à ses compagnons : « L’un d’entre vous serait-il capable de lire le tiers du Coran en une seule nuit ? » Comme ceci pesa lourd aux hommes, ils lui répondirent : « Qui d’entre nous pourrait le faire ? ». Il leur répondit: « Par Dieu, cette sourate : {Dis : « Il est Allah, Unique »} équivaut (en mérites) au tiers du Coran ». (Al Boukhari). Lire cette sourate de seulement quatre versets est un acte ayant autant de mérites que lire le tiers du Coran ! Le Prophète salallahou ‘aleyhi wa salam dit aussi  « quiconque récite : « Dis : Il est Allah l’Unique  » dix fois aura une maison construite par Allah pour lui au paradis ». Sahih al-Djami as-Saghir, 6472). Sourate Al ikhlas renferme donc en elle seule, un mérite immense.

    De plus, cette sourate permet de bénéficier d’une protection contre les maux, les tentations, le mauvais œil… C’est pour cette raison que ‘Aicha (qu’Allah soit satisfait d’elle) rapporte que : « chaque nuit, au moment où il se mettait au lit, le Prophète (‘alayhi salat wa salam) réunissait ses deux mains, y soufflait et récitait : {Dis : « Il est Allah, Unique »} et les deux sourates protectrices (sourate al falaq et sourate an-nass), puis il frottait ses deux mains sur les parties de son corps qu’il pouvait atteindre en commençant par la tête, le visage et les parties antérieures du corps. Il faisait cela trois fois. » (Al Boukhari). Le Messager d’Allah (‘alayhi salat wa salam) s’appliquait à effectuer ce rituel chaque soir car sourate al ikhlas, de même que les deux sourates protectrices, contiennent une protection et des bienfaits que l’on ne peut saisir.

    Ainsi, le fait d’aimer sourate al ikhlas permet l’accession au Paradis, le fait de la lire équivaut à la lecture du tiers du Coran et le fait de la réciter chaque soir avant de se coucher comme le veut la Sunna permet d’être protégé. Cette sourate présente donc d’importants mérites et bienfaits. Il revient à nous de donner à cette sourate sa valeur, de la méditer et de l’aimer comme il se doit, d’autant plus qu’une infinie récompense en découlera incha Allah.

Visitors online – 24
users – 0
guests – 24
bots – 0
The maximum number of visits was – 2025-03-16
all visitors – 1280
users –
guests –
bots –
browser – Firefox 45.0

Cheick Tidiani Koureissi


la sourat al fatiha Nombre de versets 7

Catégorie: spirituel

Comment entrer en contact avec son guide spirituel ?

Bonjour à tous. Je suis Guide Spirituel et voyant. Je reste à votre écoute, pour toutes questions, dans la bienveillance et la franchise.

Cliquer ici

                     Comment Devenir Riche En Partant De Rien ?                                                                                                                                                                               la sourat al fatiha                          

                                                                   Nombre de versets

Sourate al-Fâtiha a 7 versets, 29 mots et 143 lettres. Cette sourate est l’une des sourates al-Mufassalât (les sourates qui ont les versets court) et parmi celles-ci elle fait parti des sourates courtes (Qisâr). Malgré sa petite taille, elle contient d’immenses sens, et est considérée comme l’essence et la base (asâs) du Coran, et Umm al-Kitâb (la Mère du Livre).[3]

mportance

La sourate al-Fâtiha est très importante dans la vie religieuse et culturelle des musulmans. Elle est recitée dans les cinq prières quotidiennes, dix fois selon la jurisprudence Imamite (chiite) et 17 fois selon la jurisprudence sunnite. L’Imam Rida (a) pense que la lecture de cette sourate au début de la prière est parce que toute la bonté et toute la sagesse du monde et de l’au-delà se trouve dans cette sourate.[6]

Contenu

Le contenu de cette sourate est basé sur : la connaissance de Dieu; les signes des vrais et bons serviteurs de Dieu; le problème de la guidance de l’Homme; le voie directe (Sirât al-Mustaqîm); l’Unicité Divine et le remerciement à Dieu.[7].

Il est raconté dans un Hadith al-Qudsî (une parole de Dieu transmise par le Prophète (s)) :

« J’ai divisé la sourate al-Hamdah entre moi et mon serviteur; une moitié pour moi et l’autre pour mon serviteur ».[8]

préceptes

Il est obligatoire de réciter la sourate al-Hamd pendant les deux premières raka‘a de chaque prière obligatoire ou surérogatoire.

La récitation du Coran pendant la prière est un acte obligatoire, mais elle n’est pas un pilier de la prière. C’est-à-dire si quelqu’un néglige de le réciter, sa prière sera incorrecte; mais s’il oublie de le réciter, sa prière sera correcte.

Pendant la prière surérogatoire, on peut se limiter à la Fatiha, comme on peut réciter plusieurs sourates après celle-ci.[9]

Pendant la prière du zuhr et celle d’al-‘asr, il est recommandé à l’homme de prononcer al-basmala (بِسْمِ اللَّـهِ الرَّ‌حْمَـٰنِ الرَّ‌حِيمِ) à haute voix.

Apprendre et réciter correctement la sourate al-Hamd est obligatoire pour ceux qui peuvent.

Pendant les deux dernières raka‘a de la prière du zuhr et celles d’al-‘asr, on peut dire soit la Fâtiha, soit la formule «Subhân-Allah, wa-lhamdu lillâh, wa lâ ilâha ill-Allâh, wa-llâhu akbar.» Il est de même pour les deux dernières raka‘at de la prière d’al-‘ichâ’ et la troisième rak‘a de la prière d’al-maghrib.[10] Toutefois, si on choisit de prononcer cette dernière formule, on pourra se limiter à une seule fois, mais il est recommandé de la prononcer trois fois.

Dire «أَعُوذُ باللّه‌ِ مِنَ الشَّیطانِ الرَّجِیمِ», avant de réciter al-Hamad dans la première raka‘a de la prière est recommandé.

«إِيَّاكَ نَعْبُدُ وَإِيَّاكَ نَسْتَعِينُ» dans la prière de l’Imam al- Hujjah, al-Qâ’im(qa)

Elle est de deux raka‘a. Lire, pour chaque raka‘a, al-Hamd. En arrivant au verset 5 ({Iyyâka na’budu wa iyyâka nasta’în} {C’est Toi que nous adorons et c’est de Toi que nous implorons le secours}), le répéter 100 fois puis achever la récitation de la sourate. Après elle, réciter la sourate Le Culte Pur (CXII) 1 fois.[11] Qutb ad-Dîn ar-Râwandî et sayyid b. Tâwûs font partie des narrateurs de cette prière.[12]

Mérites et caractéristique

Il est rapporté du Prophète (s) :

Quiconque la lit, aura le mérite de la lecture des deux tiers du Coran, ainsi que la rétribution spirituelle décernée à celui qui aura donné une aumône à tous les croyants.[13]

Selon l’Imam as-Sâdiq (a):

« Si tu lis la sourate al-Hamd pour un mort 70 fois, il ne serait pas étonnant de le voir ressuscité »[14]

C’est la sourate dont on dit qu’elle est le résumé du Coran, son ouverture, l’expression concise de son esprit et qui est pleine de significations augustes.

En effet, répondant à une question sur le motif de l’obligation de la récitation de la sourate al-Fâtihah dans chaque prière, l’Imâm ar-Ridâ (a) dit:

« Parce que la sourate al-Hamd réunit tant de collections de Bienfaits et de Sagesses coraniques que l’on ne retrouve nulle part ailleurs ». Et d’ajouter: « C’est pourquoi, toute Prière dans laquelle la sourate al-Hamd n’est pas récitée, est incomplète ».[15]

Lecture en vue de guérison

Il est significatif que cette sourate s’appelle aussi sourate ash-Shifâ’ (la sourate de la Guérison), parce que le Prophète (s) a dit:

« Sourate al-Fâtiha est la guérison de toute maladie ».[16]

Cheick Tidiani Koureissi


Les Sagesses Du Guide Spirituel

Catégorie: spirituel

L’HOMME

Lis au nom de ton Seigneur qui a créé ! Il a créé l’Homme d’un caillot de sang. Lis !… Car ton Seigneur est le Très-Généreux qui a instruit l’Homme grâce au calame, et lui a enseigné ce qu’il ignorait.

(Coran, XCVI, 1-5.)

Qui aura fait le poids d’un atome de bien, le verra (dans l’au-delà); qui aura fait le poids d’un atome de mal, le verra.

(Coran, XCIX, 7-8.)

L’Homme est né d’impatience.

(Coran, XXI, 37.)

Nous avons créé l’Homme et Nous savons parfaitement ce que son âme (négative) lui suggère fortement. Mais Nous sommes plus proche de lui que sa propre veine jugulaire.

(Coran, L, 16.)

Recherche plutôt ce qu’Allah t’a donné, notamment la Dernière Demeure, mais n’oublie pas ta part de cette vie ici-bas. Fais le bien sur cette terre comme Allah l’a fait pour toi. N’accepte pas le désordre sur terre, car Allah n’aime pas les faiseurs de désordre.

(Coran, XXVIII, 77.)

DE L’AMOUR

De l’amour nous sommes issus, / Selon l’amour nous sommes faits. / C’est vers l’amour que nous tendons. / À l’amour nous nous adonnons.

(Ibn Arabi, Traité de l’amour.)

Ton nom est sur mes lèvres, ton image est dans mes yeux, ton souvenir est dans mon cœur : à qui donc écrirais-je ?
Ce poème de Majnûn, le poète fou de Layla, montre combien l’amour est un déchirement entre deux êtres : l’un aspire à l’union, l’autre la redoute.

Autre expression :

Cherches-tu Laïla alors qu’elle est manifeste en toi ? Tu la crois autre, mais elle n’est pas autre que toi.

(Al-Harraq, mort en 1845.)

LA COMMUNAUTÉ HUMAINE

Les hommes formaient une seule communauté. C’est alors que Dieu leur envoya des prophètes pour les avertir et pour les orienter. Il les a dotés de livres de vérité afin de gouverner sagement leurs différends. Mais ceux qui, par ostentation, s’opposent à la Vérité après l’avoir reçue, ne seront pas guidés. Allah étant celui qui guide ceux qui croient, y compris lorsqu’ils s’opposent entre eux. Allah oriente qui Il veut dans le droit chemin.

(Coran, II, 213.)

Vous êtes la communauté la meilleure qui ait surgi parmi les hommes ; vous commandez le bien et vous interdisez le mal.

(Coran, III, 110.)

GRANDEUR DIVINE

Si la mer était une encre avec laquelle on traçait les paroles de mon Seigneur, l’eau de mer s’épuiserait avant que les paroles de mon Seigneur ne tarissent. Y ajouterions-nous même une autre mer que cela n’y changerait rien.

(Coran, XVIII, 109.)

Nous avons, certes, au bénéfice des hommes, disposé dans ce Coran des exemples de chaque chose. Mais l’Homme s’est montré essentiellement querelleur.

L’AUMÔNE

L’homme a, sur chaque articulation, une aumône ; chaque jour où le soleil se lève et où tu réconcilies deux adversaires, tu fais une aumône. En aidant un homme, soit à enfourcher sa monture, soit à y placer sa marchandise, tu fais une aumône ; une bonne parole, c’est une aumône ; chaque pas que tu fais pour te rendre à la prière, c’est une aumône ; en écartant un obstacle du chemin, tu fais une aumône.

(Hadith du Prophète, rapporté par El-Bokhari.)

LA RICHESSE

La vraie richesse n’est pas une richesse matérielle ; la vraie richesse est la richesse de l’âme.

(Hadith.)

Pour l’islam, il n’est pas nécessaire d’être riche pour gagner le paradis. La seule richesse du croyant, ce sont ses actes. Il devra les défendre dans l’au-delà.

Qui se marie met en sûreté la moitié de sa religion.
(Hadith.)
Se marier est, aux yeux des musulmans, un acte recommandé, car il ne peut y avoir de piété sans que tous les sens soient satisfaits.

Celui qui possède beaucoup (de biens) souffre beaucoup au moment de la séparation.

(Ghazali, philosophe et mystique.)

Nous avons bu en mémoire de l’aimé un vin qui nous fit ivres avant que fût créée la vigne.

(‘Umar ibn Farid, mystique.)

On demandait à un singe qui urinait devant une mosquée : « Ne crains-tu pas que Dieu te métamorphose ? — S’il pouvait me métamorphoser en gazelle », répondit-il.

(Sagesse égyptienne.)

Quand j’ai contemplé Son Être, j’ai vu mon néant ; quand j’ai contemplé mon néant, j’ai vu Son Être.

(Kharraqani, Tazkerat ul-Awliya, cité par Majrouh.)

LA VÉRITÉ

Nous n’avons créé les cieux et la terre et ce qui est entre les deux que par la Vérité.

(Coran, XV, 85.)

LA LUMIÈRE

Allah est la lumière des cieux et de la terre ; le symbole de Sa lumière est comme un tabernacle dans lequel se trouve une lampe ; la lampe est dans un verre ; le verre est comme une étoile brillante. Elle est allumée à l’huile d’un olivier béni, qui n’est ni d’Orient ni d’Occident et qui est lumineuse, alors même que le feu ne la touche point. Lumière sur lumière, Allah conduit vers Sa lumière qui Il veut.

(Coran, XXIV, 35.)

La Vérité est de ton Seigneur : croit qui veut et ne croit pas qui veut.

(Coran, XVIII, 29.)

La vérité est venue, l’erreur est tombée…

(Coran, XVII, 81.)

LA VERTU

Le silence est la sagesse, mais peu le pratiquent.

(Tabari, 838-923.)

Il existe trois sortes d’êtres : les hommes de Dieu, dont le dedans est meilleur que le dehors ; les hommes de connaissance, dont le dedans est identique au dehors ; les ignorants, dont le dehors domine le dedans…

(Abul Hassan Sufi, rapporté par Jami.)

La vraie foi se voit à la relation que le croyant établit avec autrui.

(Hadith.)

Aucun de nous n’est croyant s’il ne désire pour son frère ce qu’il désire pour lui-même.

(Hadith.)

LE TEMPS

Travaille pour ton monde comme si tu devais vivre éternellement ; travaille pour ta vie dernière comme si tu devais mourir demain.

Le meilleur des hommes est celui qui leur est le plus utile.
(Hadith.)

VANITÉ DU MONDE

Ce monde n’a retiré aucun avantage de ma venue ici-bas.
Sa gloire et sa dignité n’ont également rien gagné à mon départ.
Mes deux oreilles n’ont jamais entendu dire à personne pourquoi l’on m’y a fait venir.

Et pourquoi l’on doit m’en faire sortir !

(Omar Khayyam, 1050-1123, Quatrains.)

Une des maladies de l’âme est de s’employer à embellir les apparences, de simuler l’humilité sans la pratiquer véritablement, de feindre d’adorer sans être présent dans l’adoration.
(Cheikh As-Sûlami, Xe siècle, dans son traité de psychologie soufie.)

Cet auteur dénombre plus de soixante-dix « maladies de l’âme », titre de son opuscule : ne pas accepter la vérité, s’occuper des vices d’autrui et non des siens, la convoitise, le mensonge, la jalousie, la haine, la vengeance, la colère, la négligence, la nonchalance, la trop grande estime pour soi-même, la paresse, le goût démesuré pour les affaires de ce monde, l’arrogance, le mépris des autres,…

LA BONTÉ

Donne au plus proche son droit, ainsi qu’aux pauvres, aux voyageurs. Mais ne gaspille pas.

Ceux qui gaspillent sont les frères de Satan. Satan est infidèle à l’égard de son Seigneur. Si tu t’éloignes d’eux, à la recherche d’une miséricorde de ton Seigneur, dis-leur des paroles aimables.
N’aie pas la main posée trop serrée sur ton cou pour ne point donner, mais ne l’ouvre pas entièrement : tu termineras dans le besoin, terrassé et pitoyable.

(Coran, XVII, 26-29.)

Dieu a prescrit la bonté à l’égard de vos parents, autant père que mère. Si l’un ou l’autre (ou les deux) ont atteint l’âge de la vieillesse, il ne faut pas leur dire ouffin ! Il ne faut pas les repousser et des paroles respectueuses doivent toujours leur être adressées.

(Coran, XVII, 23.)

JUSTICE ET INJUSTICE

Ô vous qui croyez, pratiquez constamment la justice et témoignez de votre fidélité à l’égard d’Allah. Faites-le en connaissance de cause, fût-ce à votre détriment ou au détriment de vos père et mère et de vos proches, que ceux-ci soient riches ou pauvres.

(Coran, IV, 135.)

Allah n’est pas injuste à l’égard des Hommes, ce sont les Hommes qui se montrent injustes envers eux-mêmes.

(Coran, X, 44.)

Punir est ordinaire, pardonner est supérieur.

(Coran, XVI, 126-127.)

LE VERSET EST PLUS COMPLEXE QUE CELA :

Si vous veniez à châtier quelqu’un, faites-le à la hauteur du dommage qu’il vous a causé. En revanche, si vous êtes patients, la patience est le meilleur des régimes pour ceux qui le peuvent.

(Coran, XVI, 126.)

Ces versets sont explicites par eux-mêmes, mais il est utile de rappeler ce mot attribué à un grand souverain musulman, Saladin :
En vérité, Ma miséricorde précède Ma colère. Pardonner par erreur me plaît davantage que punir à tort.

(Saladin.)

Saladin, que les Croisés connaissaient et appréciaient, a toujours été un héros populaire. D’origine kurde et de patronyme arabe – Salah ad-Din al-Ayyûbi –, il vécut entre Damas et Le Caire, avant de dominer la plus grande partie du Proche-Orient actuel.

SCIENCE ET CONNAISSANCE

Au-dessus de chaque savant, il y a un savant plus grand encore !

(Coran, XII, 76.)

Lorsque Allah veut du mal à un peuple, rien ne L’en empêche. Et ce même peuple n’a aucun maître en dehors de Lui.

(Coran, XIII, 11.)

Une parole hypocrite est comme un arbre stérile que l’on a coupé à même la racine et qui n’a plus d’assise.

(Coran, XIV, 26.)

Moïse dit : « Mon Seigneur, élargis ma poitrine, facilite-moi ma tâche, dénoue le nœud de ma langue afin qu’ils comprennent ma parole. »

(Coran, XX, 25-28.)

Mon Dieu ! Ta lumière a mis le feu au flambeau de la connaissance.
(Ansari, 1006-1089, Cris du cœur.)

L’homme est sauvé par sa connaissance ; l’animal est sauvé par son ignorance : entre les deux, l’homme reste en suspens.

(Rûmi, Le Livre du dedans.)

Le meilleur des princes est celui qui fréquente le savant ; le pire des savants est celui qui fréquente les princes.

(Sagesse persane.)

Jamais parole soufie n’a été aussi moderne que celle-là. Aujourd’hui encore, le pouvoir de corruption des juges, celui des souverains et autres dictateurs en costume de ville, ainsi que leurs alliés objectifs dans le système éducatif, dans l’administration et dans les corps constitués et les faux parlements, est le frein principal du développement intellectuel et spirituel de la communauté musulmane.

LA CONNAISSANCE DE SOI

Qui se connaît soi-même, connaît son Seigneur (man ‘arafa nafsahû ‘arafa rabbahû ).

(Hadith du Prophète.)

La connaissance de Dieu ne saurait être acquise par la recherche, mais seul celui qui la cherche la trouve.

(Bistami, mort en 875.)

LA RÈGLE DE VIE

Venez que je vous récite la liste des interdits que votre Seigneur vous a prescrite : ne rien Lui associer, être bienveillants à l’égard de vos père et mère, ne pas assassiner vos enfants parce que vous êtes dans le dénuement […]. Ne vous mêlez pas de turpitude et de fornication, qu’elles soient visibles ou cachées. Ne tuez aucun être humain, c’est la chose interdite, à l’exception de ce qui tombe sous l’arrêt de la loi…

(Coran, VI, 151.)

Celui qui se sera acquitté d’un bien donné recevra dix fois sa valeur ; celui qui commet un mal ne sera payé que pour ce mal…

(Coran, VI, 160.)

Et si Allah t’atteignait d’un mal, rien ne peut le dévoiler hormis Lui. S’Il te veut du bien, nul ne pourra l’écarter de toi. Il atteint celui qu’Il veut parmi ses serviteurs. Il est celui qui pardonne, le Miséricordieux. Dis : « Ô vous les hommes, la Vérité est venue de la part de votre Seigneur, celui qui prend le bon chemin le fait pour lui-même ; celui qui s’égare du bon chemin le fait à ses dépens. Je ne suis pas pour vous un défenseur. »

AVOIR LA FOI

Quelqu’un avait prouvé l’existence de Dieu de mille façons différentes. Avait-il mille raisons d’en douter ?

(Sagesse soufie.)

Ce ne sont pas leurs yeux qui sont aveugles, mais leurs cœurs.

(Coran, XXII, 46.)

QU’EST-CE QUE L’ISLAM ?

Un jour, nous étions assis chez l’Envoyé d’Allah, lorsqu’un homme que nous ne connaissions pas, de blanc vêtu et qui ne semblait pas avoir voyagé, s’approcha du Prophète et lui dit : « Ô Mohammed, fais-moi connaître ce qu’est la soumission à Allah. » Le Prophète dit : « La soumission consiste à témoigner de l’unicité d’Allah et de la véracité de son Prophète et Envoyé, Mohammed. Elle consiste à observer la prière rituelle, faire l’aumône, jeûner pendant le mois de ramadan et faire, dans la mesure du possible, le pèlerinage à la Maison de Dieu. — Tu dis vrai. » Mais l’homme poursuivit : « Fais-moi connaître ce qu’est la foi. — La foi, dit le Prophète, consiste à croire en Dieu, à Ses anges, à Ses livres, à Ses envoyés, au Jugement dernier, ainsi qu’à la prédestination du bien et du mal. — Tu dis vrai. » Il ajouta encore : « Fais-moi connaître la vertu.
— La vertu consiste, répondit le Prophète, à adorer Allah comme si tu Le voyais, et si tu ne Le vois pas, Lui te vois… » Puis l’inconnu s’en alla comme il était venu. Un long silence suivit l’entretien. Puis le Prophète s’adressa à nous et dit : « Vous savez qui m’a interrogé ? — Non, Ô Envoyé d’Allah. — C’était l’archange Gabriel, dit le Prophète. Il est venu vous enseigner votre religion… »

(Hadith, cité entre autres par Al-Bukhari et Mûslim.)

Le mot Hadith signifie « propos », c’est-à-dire le propos du Prophète.
Quiconque bâtit une mosquée ayant en vue la Face de Dieu, Dieu lui bâtira un monument semblable dans le paradis.

(Hadith : El-Bokhari, L’Authentique.)

En fait d’œuvres, il ne vous est imposé que ce que vous êtes capables d’assumer.

(El-Bokhari, inspiré par le Coran.)

LA SGESSE CORANIQUE

ALLAH EST UN

Où que vous vous tourniez, là est le visage d’Allah.

(Coran, II, 115.)

Pas de contrainte en religion. La rectitude s’est distinguée de l’erreur.

(Coran, II, 256.)

Mes serviteurs t’interrogeront sur Moi, dis-leur que Je suis proche.

(Coran, II, 186.)

L’amour des réjouissances a été présenté aux hommes de manière trompeuse : il en est ainsi des femmes, des enfants, des quintaux d’or et d’argent, des chevaux de race, du bétail et des terres de labour. Tout cela est un plaisir éphémère, mais c’est auprès d’Allah que se trouve le lieu du retour bénéfique.

(Coran, II, 14.)

Vous n’atteindrez la vraie piété que lorsque vous aurez fait aumône de ce que vous chérissez le plus. Allah est au courant de ce que vous dépensez.

(Coran, III, 92.)

SAGESSE DE MYSTIQUE

Mon Seigneur, la porte des rois est fermée, elle est gardée par des soldats. Seule Ta porte est ouverte à celui qui T’invoque. Mon Seigneur, chaque amoureux est maintenant seul avec son aimée. Et moi, je suis seule avec Toi.

(Rabi’a al-‘Adawiyya, morte en 801.)

L’homme est un livre. En lui toutes les choses sont écrites, mais les obscurités ne lui permettent pas de lire cette science à l’intérieur de lui-même.

(Rûmi, 1207-1273, Le Livre du dedans.)

L’INFINI

Un soufi est quelqu’un qui n’existe pas. Être un soufi signifie que Dieu te fait mourir à toi-même pour te faire vivre en Lui.

(Junayd, mort en 909.)

Tout comme le philosophe taoïste, le soufi, c’est-à-dire le mystique musulman, est celui qui se nourrit totalement de la proximité avec les textes fondateurs de l’islam, en particulier le Coran.

Rendez-vous lors de la fin des mille et un « habits humains ».
Au moment où l’étoile de Canope resplendira dans le ciel du bonheur.

(Nûr Ali-Shah Elahi, XXe siècle.)

Cette pensée des Adeptes de la vérité (Ahl al-Haqq) symbolise la projection dans le temps, et peut-être la transmigration des âmes, prônée par la fameuse confrérie du Kurdistan, que les adversaires appellent « secte ».

Ô mon Dieu, plonge-moi dans l’océan de l’Unité ; noie-moi dans la source pure de l’unicité afin que je ne voie, ni n’entende, ni ne sente que par elles.

(Abd as-Salam ibn Mashish, mort en 1228.)

L’ESCLAVAGE

Quiconque affranchit une personne croyante, Allah affranchira du feu les membres de son corps à raison d’un membre par personne affranchie.

(Hadith du Prophète rapporté par Bukhari et Mûslim.)


Le musulman est pour le musulman à l’image d’un édifice dont les diverses parties se soutiennent.

(Hadith rapporté par Bukhari et Mûslim.)

VIOLENCE

Celui qui a tué un homme qui n’a commis aucune violence sur terre, ni tué, c’est comme s’il avait tué tous les hommes. Celui qui sauve un seul innocent, c’est comme s’il avait sauvé l’humanité tout entière…

(Coran, V, 32.)

Ne tuez pas la personne humaine, car Allah l’a déclarée sacrée.
(Coran, VI, 151.)

ALLAH EST LE PLUS GRAND !

Ô vous, cieux et terre, venez à Nous bon gré, mal gré ! Ils répondirent en chœur : nous venons à Toi obéissants…

(Coran, XLI, 10.)

Il fut dit : « Ô terre, absorbe ton eau ; ô ciel, arrête de l’inonder de ton eau. » L’eau disparut aussitôt et l’ordre fut exécuté. Le vaisseau s’arrêta sur le mont Jûdi. « Au loin ! » dit-on au peuple des injustes.
(Coran, XI, 44.)

L’Homme est un cosmos à lui seul et le cosmos est un grand homme.
(Sagesse soufie.)

Adresse :

Côte d’Ivoire

27BP 83. Abidjan 27

CIV: +225 09288630.

Mali: +223 66742615.

BP : 182. Bamako

www.islam-religion.org

www.religionislam.net

www.marabout.info

Cheick Tidiani Koureissi


DETERMINER LES HEURES PLANETAIRES

Catégorie: Blog,spirituel

Cheick Tidiani Koureissi


        les bienfaits de Ayat al kursi

Catégorie: spirituel

LES BIENFAITS DE AYAT AL KURSI

Voici les mérites de la récitation de Ayat al kursi que l’imam Souyouti a recenser en partie :

Premier bienfait :

C’est le plus grand verset du Coran. Ubay Ibn Ka’b (RA) a rapporté ceci : « Le Prophète (SAW) m’a demandé : Quel est le plus grand verset du Livre de Dieu ? J’ai répondu : Dieu et Son Messager le savent mieux que quiconque. Il a répété sa question plusieurs fois. J’ai répondu finalement : C’est le verset du Trône. Il m’a dit alors : Félicitations pour ta science, Ô Abul Mundhir ! Par Celui qui détient le sort de mon âme, ce verset possède une langue et deux lèvres qui sanctifient le Roi au pied du Trône. » Ce Hadîth est recensé par Ahmad Ibn Hanbal dont nous suivons ici sa propre version et par Muslim, Abû Dawûd, Ibn adh-Dharis, Al-Harawî et Al-Hakîm.

2. Deuxième bienfait :

Ce verset protège des Djinn, du matin au soir, et du soir au matin, celui qui le récite. Le même ‘Ubay (RA) a rapporté également qu’il avait un gros récipient rempli de dattes qu’il surveillait de temps à autre. Constatant que la quantité de datte avait diminué, il s’est mis un soir à surveiller l’endroit. Tout d’un coup, il vit apparaître une bête ayant la taille d’un jeune adolescent. Ubay poursuit alors son récit en disant : J’ai salué et cette bête a rendu la salutation. J’ai dit : Qui es-tu ? Es-tu un Djinn ou un humain ? Elle m’a dit : Un Djinn. J’ai dit : Fais voir ta main. Elle me l’a tendue, et j’ai constaté que sa main était des poils de chien. J’ai dit : Est-ce ainsi que les Djinn sont créés ? La bête m’a dit : Les Djinns savent qu’il n’y a pas parmi eux plus terrible que moi. J’ai dit : Qu’est-ce qui t’a poussé à faire ce que tu as fait ? La bête répondit : On m’a rapporté que tu es un homme qui aime faire l’aumône. Aussi avons-nous voulu toucher à ta nourriture. J’ai dit : Qu’est-ce qui nous protège de vous ? La bête répondit : C’est Ayat Al Kursi que se trouve dans la Surate l-Baqara (La vache).

Celui qui le récite le soir est protège de nous jusqu’au matin, et celui qui le récite en se réveillant le matin est protège de nous jusqu’au soir.

Le lendemain, matin Ubay rapporta cet épisode au Prophète (SAW) qui lui a dit ceci : «Ce Djinn dit vrai, le pervers, bien qu’il soit un menteur. » (Recensé par An-Nassâ°î, Abû Y’alâ, Ibn Hibbân, Abu l-Shaykh, Tabarânî, Al-Hakîm, Abû Nu’aym et bayhaqî)

3. Troisième bienfait :

 

Ce verset, ainsi que la Sourate al-Fâtiha et deux versets de la Sourate âli ‘Imrân (la Famille de ‘Imrân), sont accrochés au Trône divin.

Tout homme qui récite ces versets reçoit une immense récompense. Al-Hassan Al-Bassarî (RA) rapporte cette tradition en la faisant remonter directement au Prophète (SAW): «L’Envoyé de Dieu (SAW) a dit : « On m’a donné la Sourate Al- Fatiha (La Luminaire), le verset du Trône (Ayat Al Kursi) et les deux versets 18 et 26 de la sourate âl ‘Imarân (La Famille de ‘Imrân). Ces versets sont agrippés au Trône divin et disent : « Seigneur ! Tu nous fais descendre sur Terre vers celui qui Te désobéit ? Dieu leur dit : Je vous ai conçus en sorte que chaque fois que l’un de Mes serviteurs vous récite à la fin de chaque prière, Je lui donne le Paradis comme lieu de séjour, Je l’installe dans la Demeure Sacro-sainte, Je le regarde chaque jour soixante-dix fois avec Mon œil, Je satisfais chaque jour pour lui soixante-dix besoins dont le moindre est le pardon, Je le fais triompher de tous ses ennemis et Je le protège contre eux» Cette tradition est recensée par Ibn al-Sani et Al-Shahami.

 4. Quatrième bienfait :

Ce verset équivaut au quart du Coran. Anas (RA) rapporte ceci : « L’Envoyé de Dieu a dit un jour à l’un de ses compagnons : Ô Untel ! Es-tu marié ? L’homme répondit : Non, Je ne possède rien pour pouvoir me marier. Il lui dit : Tu connais par cœur la surat

Al-Ikhlass (Le Culte Pur), n’est-ce pas ? L’homme répondit : Certes, oui. Il lui dit : Elle constitue le quart du Coran. Puis il lui dit : Tu connais par cœur la Sourate Al-Zalzala (Le Tremblement de terre), n’est-ce pas ? L’homme répondit : Certes, oui. Il lui dit : Elle constitue le quart du Coran. Puis il lui dit : Tu connais par cœur la surat Al-Nasr (Le Secours), n’est-ce pas ? L’homme répondit : Certes, oui.

Il lui dit : Elle constitue le quart du Coran. Puis il lui dit : Tu connais par cœur Ayatu l-Kursî, n’est-ce pas ? L’homme répondit : Certes, oui. Il lui dit: Ce verset constitue le quart du Coran. Puis il lui dit : Marie-toi, marie-toi, marie-toi (trois fois) » Ce Hadîth est recensé par Ahmad Ibn Hanbal.

5. Cinquième bienfait :

Ce verset a une position tout à fait particulière. En effet celui qui le récite après une prière prescrite est préservé jusqu’à la prière suivante. Or seul un Prophète, ou un juste (siddîq), ou un chahîd (Témoin, Martyr, Saint) est en mesure d’observer les prières avec régularité car il est préservé.

Anas (que Allah soit satisfait de lui) rapporte ceci : « L’Envoyé de Dieu (SAW) a dit : Celui qui récite Ayat al-Kursî à la fin de chaque prière prescrite restera préservé jusqu’à la prière suivante. Or la prière n’est observée avec régularité que par un Prophète ou par un juste ou par un témoin.» Ce Hadîth est recensé par Bayhaqî dans ses Shu’ab Al-Imân.

6. Sixième bienfait :

Chaque fois qu’on récite ce verset sur une nourriture ou un condiment, il croît. Aïcha (RAa) rapporte ceci : « Un homme est venu auprès du Prophète (SAW) se plaindre du manque de bénédiction dont souffre tous ses biens dans sa maison. Il lui dit : Où en es-tu d’Ayat Al Kursi? Chaque fois qu’on le récite sur une nourriture ou un condiment, Dieu accroît la bénédiction de cette nourriture et de ce condiment». Ce Hadîth est recensé par Abu l-Hassan Muhammad Ibn Ahmad Ibn Mas’ud dans ses Am’Ali et par Ibn al-Najjâr.

7. Septième bienfait :
Ce verset est plus grand que les Cieux, la Terre, le Paradis et

l’Enfer.

Ibn Mas’ûd (RA) rapporte ceci : le prophète (SAW) a dit : « Dieu n’a rien crée, comme ciel, terre, paradis ou enfer, de plus grand que Ayat al-Kursî. » Cette Tradition est recensée par Abû ‘Ubayd, Ibn al-Dharis et Muhammad Ibn al-Dharr.

8. Huitième bienfait :

Celui qui récite ce verset en entrant chez lui chasse le démon de sa maison. Car il s’agit du Maître verset du Coran qui protège celui qui le récite dans sa personne, ses enfants, ses biens et sa maison et le prémunit contre le mal de ses voisins. C’est aussi le plus grand verset du Coran et l’un des Trésors du Tout Miséricordieux qu’aucun Prophète n’a reçu avant notre Prophète. Celui qui le récite avec les deux derniers versets de la Sourate Al-Baqara (La Vache) chasse le démon de sa maison et empêche les Djinn et les voleurs de s’en approcher. Ibn Mas’ûd (RA) rapporte ceci : « En sortant de chez lui un humain a croisé un djinn. Ce dernier lui dit : veux-tu lutter contre moi ? Si tu arrives à me battre je t’apprendrai un verset qui, si tu le récites en entrant chez toi, aucun démon n’y pénétrera ! Ils se mesurèrent et l’homme parvint à battre le Djinn. Celui-ci lui dit : Récite Ayatu l-Kursî, car aucun homme ne le récite en entrant chez lui sans que le démon n’en sorte en pétant comme un âne. » On dit à Ibn mas’ûd : Cet homme ne pouvait être que ‘Omar Ibn al-Khattâb! Cette Tradition est recensée par Abû ‘Ubayd, Al- Daraqutani, Tabarânî, Abû Nu’aym et Bayhaqî.

Il est dit dans la version que rapporte Abû Hurayra (RA): «sourate Al-baqara (La Vache) renferme le Maître verset du Coran. Chaque fois qu’on le récite dans une maison, le démon la quitte. »

9.

Neuvième bienfait :

Ce verset procure à celui qui le récite le droit d’entrer au Paradis. Abû Umma Sada Ibn ‘Ijlan (RA) rapporte ceci : «Le Prophète (SAW) a dit : A celui qui récite Ayat al Kursi à la fin de chaque prière prescrite, rien ne l’empêche d’entrer au Paradis, si ce n’est la mort. » Ce Hadith est recensé par Al-Nassa’î, Ibn Hibbân, Dâraqutnî, Ibn Mardawayh, Tabarânî et Ruwayani. Ayat al Kursi

10. Dixième bienfait :
Ce verset renferme le Nom Suprême de Dieu par lequel Il

exauce lorsqu’on L’invoque.

Abû Umâma (RA) rapporte ceci : « L’Envoyé de Dieu (P.S. de Allah sur lui) a dit : Le Nom Suprême de Dieu par lequel, Il exauce lorsqu’on L’invoque, se trouve dans trois surat du Coran : Sourate Al Baqara (La Vache), Sourate âl-‘Imrân (La Famille de ‘Imrân) et surat Ta-ha ».

Abû Umâma ajoute : J’ai cherché et j’ai trouvé les trois versets correspondants : dans surat al Baqara c’est Ayat al Kursi, dans sourate âl-‘Imrân c’est le verset 2 « Allah, lâ ilaha illa huwa al- Hayyum al-Qayyum ». Dans sourate Ta-ha, c’est le verset 111 : «Les visages s’humilieront en présence d’al-Hayyum, al-Qayyum ». Ce Hadîth est recensé par Ibn Abî al-Dunyâ, Tabarânî, Ibn Mardawayh, Al-Harawi et Bayhaqî.

11. Onzième mérite :

Ce verset, récité avec les deux derniers versets de Sourate al- Baqara (La Vache), apporte du secours à celui qui les récite. En plus, deux anges se chargent de sa protection durant toute la nuit de sa récitation.

Abû Qatada (RA) rapporte ceci : « Le Prophète (SAW) a dit : Allah Sobhanaho apporte Son secours à celui qui récite Âyatu al-Kursî et les deux derniers versets de Sourate Al-baqara (La Vache) au moment des afflictions et des épreuves. » Ce Hadîth est recensé par Ibn al-Sunni. De même Qatada rapporte que celui qui récite Ayat al Kursi en s’installant dans son lit sera protégé par deux anges jusqu’au réveil. Cette tradition est recensée par Ibn al-Dharis.

12. Douzième bienfaits :

A celui qui récite ce verset à la fin de chaque prière prescrite, Dieu inspire à son cœur de rendre Grâce et à sa langue de pratiquer le dhikr (mention de Dieu). Il reçoit en plus l’équivalent de la récompense d’un martyr et l’équivalent de l’œuvre d’un juste, car il s’agit du plus grand verset révélé dans le Coran. Abû Mûssa al-Ash’ari (RA) rapporte ceci : «Le Prophète (SAW) a dit ceci : Allah sobhanaho a révélé a Mûssa (Moïse) Ibn ‘Imrân de réciter Ayat al Kursi à la fin de chaque prière prescrite, car à celui qui le récite à la fin de chaque prière prescrite, Dieu lui donne ceci : un cœur comme celui des gens qui s’adonnent au dhikr (mention de Dieu), une récompense équivalente à celle des Prophètes et une œuvre comme celles des justes. C’est que la récitation régulière de ce verset ne peut être observée que par un prophète ou par un juste dont Dieu a éprouvé le cœur dans la Foi pour le destiner au martyr. »

13. Treizième bienfaits :

Celui qui récite ce verset avec le verset 3 de sourate Junus et ceux des deux dernières sourates du Coran sur une femme qui a des difficultés pour accoucher, il facilite son accouchement. Fâtima-Zahra (RAa) la propre fille du Prophète (SAW) rapporte ceci : «A l’approche de son accouchement, le Prophète (SAW) a ordonné à Um Salama et Zaynab Bint Jahsh de se rendre au chevet de sa fille Fatima et de réciter sur elle Ayat al Kursi, le verset 3 de la surat Jonas ainsi que les versets des deux dernières surat du Coran. » Ce Hadîth est recensé par Ibn al-Sunni.

14. Quatorzième bienfaits :

Celui qui le récite ne cesse d’être protéger par un gardien préposé par Dieu. Le démon ne s’approche pas ce lui qui a récité ce verset durant toute la nuit. Il ne faut pas s’en étonner car il s’agit d’un Trésor provenant du Trône divin qui n’a été accordé à aucun autre Prophète avant notre Prophète (SAW). Ali (RA) a dit: « Je ne peux concevoir qu’un homme qui a grandi en Islam ou qui a perçu avec son discernement la vérité de l’Islâm puisse dormir sans réciter Ayat al Kursi. Si vous saviez ce qu’il renferme vous ne le négligerez jamais. L’Envoyé de Dieu (SAW) a dit : « On m’a donné Ayat al Kursi à partir d’un Trésor enfoui sous le Trône divin et personne ne l’a reçu avant moi ! » Ali ajoute : Depuis que j’ai entendu ces Paroles de l’Envoyé de Dieu (SAW) je ne me suis jamais endormi une seule nuit sans avoir récité ce verset. » Ce Hadîth est recensé par Al-Daylamî.

15. Quinzième bienfaits :

Aucun voile ne s’interpose entre Dieu et Ayat al Kursi ainsi que Sourate Al-Fâtiha et les versets 18, 26 et 27 de sourate âl-‘Imrân (La Famille de ‘Imrân). Ali (RA) a dit : «Sourate al-Fâtiha (La Liminaire), Ayat al Kursi et les versets 18, 26 et 27 de surat âl- ‘Imrân (La Famille de ‘Imrân) sont suspendus (au Trône) et rien ne s’interpose entre eux et Dieu. Ils disent à Dieu : Tu nous fais descendre sur Terre, vers celui qui te désobéit ?

Dieu leur dit : « Je jure par Moi-même ! Aucun de Mes serviteurs ne vous répète, à la fin de chaque prière, sans que Je fasse du Paradis le lieu de son séjour, sans que Je le fasse habiter dans la Demeure Sacro-saint, sans que Je le regarde soixante-dix fois chaque jour avec Mon Oeil intérieur, sans que Je lui accorde chaque jour la satisfaction de soixante-dix besoins dont le moindre est le pardon et sans que Je le protège de son ennemi et le fasse triompher de lui. » Cette Tradition est recensée par Ibn al-Sunnî, Al-Shahami, Ibn al-Jawzî et Suyûtî. Tafsîr : Exégèse Ibn Kathîr.

Cheick Tidiani Koureissi


Les Articles du Guide spirituel

Catégorie: Blog,spirituel

Cheick Tidiani Koureissi